Une méta-analyse menée au CHU Sainte-Justine et à l’UdeM révèle que les tendances suicidaires peuvent souvent précéder les troubles liés à l’utilisation de substances, pas seulement les causer.
L’idée parfois véhiculée voulant que les problèmes d’abus et de dépendance à l’alcool, au cannabis et à d’autres drogues conduisent à des tendances suicidaires chez les adolescents et les jeunes adultes est remise en question par les résultats d’une nouvelle étude menée au CHU Sainte-Justine et à l’Université de Montréal.
«Pour la toute première fois, une méta-analyse révèle que les probabilités que les tendances suicidaires précèdent les troubles liés à l’utilisation de substances sont tout aussi fortes», mentionne Charlie Rioux, diplômée du doctorat au Département de psychologie de l’UdeM et au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et première auteure de l’étude, publiée en août dans PLOS ONE.
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