Un stresseur qui perdure chez certains enfants
Cependant, la chercheuse Sophie Parent, du CHU Sainte-Justine et professeure titulaire à l’École de psychoéducation de l’UdeM, qui a aussi contribué à l’étude, s’interroge sur le fait que, chez une proportion non négligeable d’enfants, «les niveaux de cortisol demeuraient élevés après deux mois d’expérience scolaire».
«Nous ne savons pas encore clairement ce qui explique ces différences et ce qu’elles disent de la réponse adaptative», conclut Maggy Leblond, dont les prochains travaux examineront justement ce qui pourrait différencier les enfants qui s’adaptent physiologiquement plus vite de ceux qui s’adaptent moins rapidement, et les façons de mieux préparer les nouveaux élèves à leur vie en classe.
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