Il est plus que temps d’adopter des politiques pour protéger les jeunes des effets pervers des réseaux sociaux, a plaidé une experte lundi, une option cependant écartée par le gouvernement du Québec pour le moment.
«Plus les jeunes utilisent les réseaux sociaux, plus ils ont des difficultés ; des symptômes de dépression, d’inattention et des symptômes de troubles alimentaires», a énuméré Patricia Conrod, psychiatre et professeure à l’Université de Montréal, dans la foulée durent discours d’ouverture du symposium international Métavers et santé au Palais des congrès de Montréal.
Source et article complet : Réseaux sociaux: Québec préfère la responsabilisation à la légifération | TVA Nouvelles